maton

 

En 2006 je me rends à lévidence que c’est la musique dite pop ou populaire
qui m’a toujours procuré l’envie de continuer à faire des choses ‘plastiques’.

De plus, chaque séance de travail est toujours accompagnée de l'écoute en boucle de musique.
Je trouve souvent ce que je recherche picturalement lors de concerts pop (dans le sens large du mot).

J'éprouve le besoin de travailler de façon "libre" et griffonne des dessins au marker dans un carnet à spirales
ou sur des mémos, quelquefois accompagnés de textes (conversations dans le métro, dialogues de films,
paroles de chansons que j’écoute à ce moment-là, ou autres…),
sans autre préoccupation que d’avoir un trait direct sans faux-semblants.

Cette pratique me procure un 'détachement' et une plus grande libertée artistique,
chose que je prise énormément...